La fondatrice

Mme Edith Lucie BONGO ONDIMBA. ( 1964 - 2009 )

"Je pense que sur cette terre, nous ne pouvons pas être des touristes. La vie est un don précieux du Seigneur, et il nous a dit "Allez-y, transformez-la."

Mme Edith Lucie BONGO ONDIMBA.

ACTIVITES ET DISTINCTIONS

Née de Marie-Claire Dirat et de Denis Sassou-Nguesso, Edith Lucie BONGO effectue tout son cursus scolaire à Brazzaville (Congo) avant de s'inscrire, en 1982, à l'Institut National des Sciences de la Santé de Brazzaville. Sept (7) ans plus tard, elle brandit fièrement son Doctorat en médecine. Sa thèse de soutenance portait essentiellement sur les maladies infantiles.

 

L’exercice de ses fonctions sera très bref, d’environ trois (3) ans, avant de devenir la première dame du Gabon, titre acquis en devenant l’épouse du président gabonais Omar Bongo, en août 1990.

Devenue Première dame du Gabon, elle s'engage en faveur d'actions caritatives, notamment la lutte contre le sida. Le 21 septembre 1996, elle crée la fondation Horizons Nouveaux, destinée à aider les enfants en situation de handicap. À Libreville (Gabon), elle crée également le Complexe Scolaire Privé Michel Dirat  et La polyclinique El Rapha en 2000. La Polyclinique est  une structure sanitaire de référence dont elle a présidé le conseil d'administration pendant plusieurs années.

L’héritage de Mme Édith Lucie Bongo Ondimba est bien plus qu’une simple empreinte dans l’histoire. C’est une lumière qui brille dans l’obscurité, une promesse de compassion et d’engagement envers les plus vulnérables de notre société. En tant qu’ancienne Première Dame, elle a transcendé les limites du pouvoir politique pour ériger des bastions d’espoir et d’éducation.

Sa fondation, véritable pilier de générosité, s’étend comme un bouclier protecteur autour de ces mêmes enfants, leur assurant des ressources et des opportunités qu’ils méritent. Mme Édith Lucie Bongo Ondimba a insufflé un esprit de bienveillance et d’inclusion dans chaque pierre de son héritage, faisant de chaque obstacle une occasion de croissance et de solidarité.

Hormis son engagement auprès de son époux, d’où elle tirera le titre de « Présidente d’Honneur » en 2003, Edith Lucie BONGO s’est engagé dans plusieurs causes.
 
En 1996, elle se voit décernée la médaille de Reconnaissance des laboratoires Mérieux, le 31 mai, à Libreville.
 
Cette même année, en Septembre, elle reçoit également le Prix Elissa pour l’enfance décerné par le CFST, à Libreville.
 
En 2003, elle participe à la création en 2003 de l'Organisation des Premières dames d'Afrique contre le sida (OPDAS), dont elle sera la toute première présidente (jusque 2004). Elle était membre de l'Association Médecins du Monde (présidant son antenne gabonaise).

Née de Marie-Claire Dirat et de Denis Sassou-Nguesso, Edith Lucie BONGO effectue tout son cursus scolaire à Brazzaville (Congo) avant de s'inscrire, en 1982, trois (3) ans après l'accession de son père au pouvoir, à l'Institut National des Sciences de la Santé de Brazzaville. Sept (7) ans plus tard, elle brandit fièrement son Doctorat en médecine. Sa thèse de soutenance portait essentiellement sur les maladies infantiles.

L’exercice de ses fonctions sera très bref, d’environ trois (3) ans, avant de devenir la première dame du Gabon, titre acquis en devenant l’épouse du président gabonais Omar Bongo, en août 1990. Devenue Première dame du Gabon, elle s'engage en faveur d'actions caritatives, notamment la lutte contre le sida. Le 21 septembre 1996, elle crée la fondation Horizons Nouveaux, destinée à aider les enfants en situation de handicap. À Libreville (Gabon), elle crée également le lycée Michel Dirat et en 2001, la polyclinique El Rapha, une structure sanitaire de référence dont elle a présidé le conseil d'administration pendant plusieurs années.

L’héritage de Mme Édith Lucie Bongo Ondimba est bien plus qu’une simple empreinte dans l’histoire. C’est une lumière qui brille dans l’obscurité, une promesse de compassion et d’engagement envers les plus vulnérables de notre société. En tant qu’ancienne Première Dame, elle a transcendé les limites du pouvoir politique pour ériger des bastions d’espoir et d’éducation.

Sa fondation, véritable pilier de générosité, s’étend comme un bouclier protecteur autour de ces mêmes enfants, leur assurant des ressources et des opportunités qu’ils méritent. Mme Édith Lucie Bongo Ondimba a insufflé un esprit de bienveillance et d’inclusion dans chaque pierre de son héritage, faisant de chaque obstacle une occasion de croissance et de solidarité.

Hormis son engagement auprès de son époux, d’où elle tirera le titre de « Présidente d’Honneur » en 2003, Edith Lucie BONGO s’est engagé dans plusieurs causes.
 
En 1996, elle se voit décerner la médaille de Reconnaissance des laboratoires Mérieux, le 31 mai 1996, à Libreville. Cette même année, en Septembre, elle reçoit également le Prix Elissa pour l’enfance décerné par le CFST, à Libreville. En 2003, elle participe à la création en 2003 de l'Organisation des Premières dames d'Afrique contre le sida (OPDAS), dont elle sera la toute première présidente (jusque 2004). Elle était membre de l'Association Médecins du Monde (présidant son antenne gabonaise).

L’héritage de Mme Édith Lucie Bongo Ondimba est bien plus qu’une simple empreinte dans l’histoire. C’est une lumière qui brille dans l’obscurité, une promesse de compassion et d’engagement envers les plus vulnérables de notre société. En tant qu’ancienne Première Dame, elle a transcendé les limites du pouvoir politique pour ériger des bastions d’espoir et d’éducation.

Sa fondation, véritable pilier de générosité, s’étend comme un bouclier protecteur autour de ces mêmes enfants, leur assurant des ressources et des opportunités qu’ils méritent. Mme Édith Lucie Bongo Ondimba a insufflé un esprit de bienveillance et d’inclusion dans chaque pierre de son héritage, faisant de chaque obstacle une occasion de croissance et de solidarité.